Gaby pas pressé pour son avenir
Gabriel Heinze concède qu'il pourrait quitter Old Trafford, mais qu'il lui faudrait un tres grand club pour abandonner sa vie "parfaite" à Manchester.
Le populaire défenseur argentin a été régulièrement annoncé sur le départ depuis l'émergence de Patrice Evra comme titulaire au poste d'arrière gauche.
Un certain nombres de grands clubs européens ont été annoncés comme étant intéréssés, ainsi que Liverpool d'après les tabloïds de la semaine dernière.
Mais Heinze a dit au Manchester Evening News:
"Je joue déja pour un super club et d'autres ont été mentionnés, comme Barcelone, le Real Madrid ou la Juventus.
"Pour que je réponde à une offre, il faudra qu'elle satisfasse tout le monde. Je suis tres bien à Manchester. J'ai été champion, capitaine et les fans m'adorent. Tout est parfait."
Gaby est actuellement avec l'équipe nationale d'Argentine à la Copa America au Venezuela et met toute son énergie à ramener ce trophée dans son pays. Un éventuel transfert n'est pas sa priorité en ce moment.
"Je vais me focaliser sur l'Argentine ces trois prochaines semaines."
Sur le forum
Bunny-Tsukino, le 21 mars 2014 à 17:46
En fin de saison il met un terme à sa carrière. Je l'aimais bien Gaby.
Moi aussi, au-delà du bon footballeur qu'il a été, c'est un grand seigneur, un professionnel irréprochable et totalement dévoué à son équipe. Lorsqu'il a quitté l'OM, il a fait cadeau au club de sa dernière année de contrat. Donc malgré son passage de Paris à Marseille, je le respecte. Il n'a jamais triché avec qui que ce soit. Les jeunes devraient vraiment prendre exemple sur lui, et même certains joueurs actuels de United...
VIVE HEINZE !
pj harvey, le 21 mars 2014 à 17:14
En fin de saison il met un terme à sa carrière. Je l'aimais bien Gaby.
Bunny-Tsukino, le 21 juillet 2011 à 23:35
Ça va, il s'est bien enquillé, le Heinze . Je pensais pas qu'il trouverait un si bon club.
Metro_Star, le 21 mars 2014 à 18:02
On parlera pas donc de son envie a un moment (quand il jouait chez nous) de rejoindre Liverpool . Ou les quelques coups de couteau qu'il nous a enfilé quand il avait rejoint l'Espagne