Escale à Sydney pour les Red Devils
Manchester United a annoncé aujourd'hui qu'il jouerait un match amical à Sydney face à une sélection du championnat national (Australian A-League) dans le cadre de sa tournée de pré-saison 2013.
Ce sera la cinquième fois que le club se rend en Australie. La première fois, c'était en 1967, et la dernière en 1999, l'année du triplé.
Lors de cette annonce, le directeur général de United David Gill a déclaré : "Le match et le stage qui vont avoir lieu à Sydney seront une partie importante de la préparation de l'équipe en vue de la saison 2013/14. Nous sommes ravis d'accepter l'invitation du gouvernement de Nouvelle Galles du Sud et de la Fédération australienne de football dans cette superbe ville de Sydney."
"Il y a trois raisons pour lesquelles nous faisons des tournées de pré-saison. La première, et la plus importante, c'est la préparation de l'équipe pour la saison à venir. Mais c'est également l'opportunité de rencontrer nos supporters de l'étranger ainsi que notre réseau de partenaires commerciaux. Cela fait quelques années que nous ne sommes pas allés à Sydney, et nous sommes impatients de rejouer devant nos fidèles fans australiens."
L'équipe de Manchester United s'entraînera à Sydney pendant six jours. Ce match amical est prévu pour le 20 juillet à l'ANZ Stadium de Sydney.
Sur le forum
reddevilsX, le 13 décembre 2012 à 23:47
Chacun prêche pour sa paroisse , fan de City compris y a rien de surprenant à ça.
Et puis dire qu'on aurait aussi pu perdre ce match ne me choque pas , c'est pas comme si on avait outrageusement dominé City non plus.Ils ont eu de bonnes occasions mise à part leurs deux buts : La frappe de Balo , la frappe de Silva à bout portant , la frappe de Barry.Ils auraient pu les mettre au fond mais il ne l'ont pas fait.
Après ça c'est jouer sur des détails. Aguero rate son contrôle pour une occasion de but , contre attaque et but de Rooney.But refusé de Young , contre attaque et but de Toure.Mauvaise entente entre Rafael et Cleverley qui provoque un corner et Boum égalisation de Zabaleta alors qu'il n'y avait aucun danger.Au fond le seul but qui ne provient pas directement d'une erreur adverse c'est le deuxième but de Rooney qui est très bien construit.
2 de nos buts viennent suite a des erreurs Citizen mais les deux leurs viennent aussi suite à nos erreurs donc bon.
Mouais je suis pas trop partisans de ce discours.. Quand une équipe marque, elle exploite la faiblesse de son adversaire, et en quelque sorte ses erreurs ! A ce moment la si y'a pas d'erreur y'a pas de buts et tout est verrouiller avec des robots sur le terrains qui se neutraliseraient ! Haha
MU4Liifee, le 13 décembre 2012 à 23:32
Chacun prêche pour sa paroisse , fan de City compris y a rien de surprenant à ça.
Et puis dire qu'on aurait aussi pu perdre ce match ne me choque pas , c'est pas comme si on avait outrageusement dominé City non plus.Ils ont eu de bonnes occasions mise à part leurs deux buts : La frappe de Balo , la frappe de Silva à bout portant , la frappe de Barry.Ils auraient pu les mettre au fond mais il ne l'ont pas fait.
Après ça c'est jouer sur des détails. Aguero rate son contrôle pour une occasion de but , contre attaque et but de Rooney.But refusé de Young , contre attaque et but de Toure.Mauvaise entente entre Rafael et Cleverley qui provoque un corner et Boum égalisation de Zabaleta alors qu'il n'y avait aucun danger.Au fond le seul but qui ne provient pas directement d'une erreur adverse c'est le deuxième but de Rooney qui est très bien construit.
2 de nos buts viennent suite a des erreurs Citizen mais les deux leurs viennent aussi suite à nos erreurs donc bon.
Oscardevil, le 13 décembre 2012 à 10:06
tétanisé par le but à la dernière minute on a oublier les prouesse de notre journaliste chapeau mec!!!
Redhouane, le 13 décembre 2012 à 9:56
C'était par un froid dimanche après-midi de Décembre, dont le froid polaire régnant en maître dehors ainsi que la pile de feuilles de révisions mal trié, mal négocié, et soyons totalement honnête mal fait imposait de rester chez soi. Banal journée pré-partiel en somme, sauf qu'un match était programmé lors de ce 9 décembre. Le genre de match que tu attends depuis des jours, des semaines, des mois, et où tu vas envoyer se faire f0utre ta psychométrie clinique pour déguster pendant deux heures ce si particulier charme du football anglais. Mélange de scénario rocambolesque, de stress et d'engagement au delà de la limite. Le foot que tu aimes, pour qui ton cœur bat. Manchester United vs Manchester City. Une ville, une rivalité, un match. Simple équation, complexe réalisation.
Le début du match n'encourage pas à l'optimisme. Les blues dominent, United serre les fesses et moi les dents. Drop de Ballo l'idiot, dribble manqué de Nasri l'abruti, il faut toute l'incompétence de la compo de Mancini le nanti pour empêcher les citizens de concrétiser. Du moins, jusqu'à la 15em minute. Ensuite, les rouges vont sortir le bleu de chauffe, et montrer qui sont les patrons du royaume. Contre assassin, contre United, une remise magnifique de Van Persie, Young qui déboule, et puis vient le show de Rooney. On l'a tous plus ou moins admis, Rooney, si longtemps étendard de United, ne sera jamais le meilleur joueur du monde. Il ne soulèvera, sauf miracle incommensurable, jamais le ballon d'or. En fait, il restera dans l'ombre des géants de son époque, relégué au second plan par les statistiques d'un Ronaldo ou d'un Messi. Mais il arrive qu'il nous rappelle pourquoi certains y ont cru, qu'il serait le meilleur. Des gestes foudroyant, génial, inouï. Enchaînement improbable, mais au final, c'est bien Hart qui doit chercher le ballon au fond de ses filets. Wayne a frappé la ville, et va faire revivre dans le sillage de son but, pendant un instant semblant éternel de part sa beauté, le Manchester United, celui d'avant, des Ronaldo, Hargreaves, Ferdinand-Vidic, ce Manchester magnifique, assassin, tout en maîtrise et si tueur pour l'assassin. Le Manchester qui maîtrise. Chose inespérée cette saison, surtout chez les bourreaux de l'an passé, mais oui du but de Rooney jusqu'à la réduction de score environ, Manchester maîtrise. Le match, son déroulement, City, tout est sous contrôle. La tourelle Carrick continue de nous faire admirer son triple cerveau footballistique, Clerveley presse et court comme un chien fou, même Van Persie défend, et de fort belle manière. Et puis il y a ce moment où Manchester accélère, se retrouve dans la surface adverse, porte le danger aux portes assiégés d'une ville bleu près à changer de couleur. Auteur d'un premier but sur contre éclair, Wayne nous livre un doublé du tonnerre, alors que la foudre n'est jamais censé frappé deux fois. City est à terre, United est beau. Pour la première fois de la saison, pour la première fois depuis plus d'un an, Man U a de la gueule. p***** de match le couteau entre les dents, les tacles assez appuyés pour faire mal et assez subtil pour ne pas se prendre de carton, le pressing, la défense tous ensemble, les contres, les couilles sur la table. Manchester United est venue en guerrier, et c'est la guerre gagné qu'il compte repartir. Et puis, il y a ce but annulé, dont étrangement aucun média ne parlera, City qui égalise sur le contre qui suit. United perd du terrain, de la maitrise, de la splendeur. On retrouve peu à peu les mêmes gestes ratés, la même hésitation, le même fiasco non-maitrisé des précédents matchs, et on tremble, on a peur, on craint l'égalisation. Jusqu'à ce qu'elle arrive, à la fois immérité et logique, implacable autant qu'innacceptable. L'étau s'est rassuré à l'eithad. On se met alors à pester, à cracher nos bières et nos insultes, à se complaindre entre colère arbitrale et haine citizens. Mais m****, on est Manchester United, les rouges, ceux qui n'abandonnent jamais, ceux qui renversent tout, et les seigneurs éternels des renversement. Renversé, c'est Welbeck, obtenant une précieuse faute. Un coup-franc aux abords de la surface, un poste de tir qu'adore Van Persie. Après Owen, le traître de Liverpool, c'est RVP, judas d'Arsenal qui se prépare à crucifier les citizens. Les mercenaires ne doivent pas aimer les traîtres, ou l'inverse. Le néerlandais, son transfert, son coût, la préférence de la majorité pour un milieu défensif, tout ça oublié, effacé, en un coup de patte, un coup de latte, Robin et son coup de batte-man. On crie, on expulse notre joie, la revanche est prise sur l'ennemi, l'ennemi pas encore à terre, mais un genoux ancré dans le sol, et Manchester United qui creuse son écart. Six points, leader, plus que jamais favori. La bataille de Manchester s'arrête là, Manchester comme au théatre, a frappé trois coup. Coup de génie, coup de boutoir, et coup-franc, c'est simple le foot au fond.
Le reste, on en parlera pas. Ni du sang de Ferdinand, ni du supporter abruti, ni des quatorze points d'avance du Bayern Munich sur Dortmund, ni de Messi qui bat un record dont personne ne parlait avant que l'argentin commence à le titiller, ni du derby saint-étienne lyon. Le week-end foot est fini. La bière vide finira à la poubelle, la psychométrie reprendra sa loi, et le froid de cet fin d'après midi de décembre remanifestera sa morsure. Banal journée pré-partiel en somme, pourtant le temps de deux heures pas comme les autres, le ballon rond m'aura prouvé que, même s'il n'avait plus de son charme des 90s ni même des années 2000, il restait un magnifique sport. Et ça, cette certitude, que seul United pouvait m'offrir, fait chaud au cœur. Merci à vous les mancuniens, les vrais, les rouges.
Un seul mot : Bravo
MU4Liifee, le 13 décembre 2012 à 0:02
Ouais , je comprends ce que tu veux dire mais j'ai quand même le sentiment que les erreurs pur et faiblesses adverse ne sont pas tout le temps à mettre dans le même panier.
Sur notre deuxième but par exemple en soit je trouve pas que City joue mal le coup mais plutôt qu'on le joue très bien.De gea relance tranquillement sur Evans , Cleverley joue le une deux avec Young , Carrick la met à Valencia , Valencia décale Rafael qui centre et but de Rooney.Y a une petite incompréhension entre Barry (je crois) et Silva qui fait que Rooney est libre et ça c'est une faiblesses très minime adverse qu'on exploite bien.
Alors que l'incompréhension Rafael Cleverley par exemple à 20m de nos cages je trouve ça déjà plus débile et c'est ce que j’appelle une erreur pur.Rafael la met dans les pieds , Cleverley part en profondeur interception corner but.On aurait largement pu éviter cette erreur , c'est comme offrir une occasion à l'adversaire sur un plateau.
Après encore une fois je comprends ce que tu veux dire et en soit je suis pas totalement en désaccord mais les tripes genre mauvais contrôle qui provoque une contre attaque ou interception sur une mauvaise passe je trouve qu'on a déja un "coupable" plus facilement identifiable