Champions League : six options
Le tirage au sort pour les 8èmes de finale de la Champions League se tiendra aujourd’hui à 12h à Nyon, siège de l'UEFA. Manutd.com dresse un bilan sur les adversaires possibles des Red Devils.
Copenhague
Le champion du Danemark peut se féliciter de sa campagne européenne à ce jour, avec un nul à domicile contre les premiers du groupe, Barcelone, et deux victoires contre les Grecs du Panathinaikos, facilitant ainsi leur qualification pour les 1/8èmes. Copenhague se présente comme l’équipe la plus abordable du tirage au sort, mais les Red Devils doivent se rappeler leur défaite 1-0 au Danemark lors des phases de poules de la saison 2006/2007, malgré une confortable victoire 3-0 à domicile avec des buts de Paul Scholes, John O ' Shea et Kieran Richardson.
Internazionale
Sous une nouvelle direction - Rafael Benitez ayant remplacé Jose Mourinho -, les champions européens en titre ont connu quelques difficultés lors des phases de poules, terminant deuxièmes de leur groupe derrière les Spurs de Tottenham. L’Inter n'a pas gagné un seul match à l'extérieur : défaite à White Hart Lane et contre Wolfsburg, nul 2-2 avec le FC Twente. Sur le plan national, les choses se compliquent puisqu’ils sont désormais à 16 points derrière le leader actuel, le Milan AC. Les Red Devils restent sur une victoire 2-0, sur l'ensemble des matchs lorsque les deux équipes se sont rencontrées il y a deux saisons, avec des buts de Nemanja Vidic et Cristiano Ronaldo.
Lyon
Le parcours européen de l’Olympique Lyonnais s’est déroulé en deux temps. Un excellent démarrage de la compétition avec trois victoires consécutives, puis une deuxième partie beaucoup plus difficile avec deux défaites à l'extérieur contre le Benfica et Schalke et enfin, un nul décevant à domicile contre le Hapoel Tel Aviv. Le club Français a été confronté à United à plusieurs reprises au cours de la dernière décennie, et plus récemment lors de la saison 2007/2008. Les Red Devils avaient obtenu un match nul à l’extérieur, grâce à un but égalisateur de Carlos Tevez en fin de match, puis une victoire 1-0 à Old Trafford sur un but de Cristiano Ronaldo deux semaines plus tard, permettant la qualification de United pour les quarts de finale.
Marseille
Après avoir perdu leurs deux premiers matchs, les champions en titre Français ont finalement trouvé les ressources nécessaires pour terminer deuxièmes de leur poule, derrière Chelsea. Ils ont remporté leurs quatre derniers matchs dont un mémorable 7-0 infligé au club slovaque du MSK Zilina. La dernière confrontation entre les deux clubs date de la saison 1999/2000, où Manchester United était les Champions d'Europe en titre. Une victoire 2-1 à domicile grâce à des buts d’Andy Cole et Paul Scholes, puis une défaite 1-0 lors du match retour au Stade Vélodrome.
Milan AC
Le septuple champion d'Europe semble avoir été redynamisé sous la direction de Massimiliano Allegri, puisqu’ils sont actuellement leaders de la Serie A. Mais n’ayant obtenu que deux victoires lors des phases de poules de la Champions League, des doutes sont soulevés sur la capacité des Milanais à améliorer leur sortie de la saison (ils avaient été démolis 7-2 par United sur les deux confrontations), et à redevenir un grand d’Europe.
Roma
Les Italiens sont des adversaires familiers des Red Devils puisque les deux équipes se sont rencontrées à six reprises en quatre ans en Champions League. Le bilan de United est particulièrement favorable : 1 défaite, 1 nul et 4 victoires, dont le mémorable 7-1 en 2007. La Roma n’a pas réussi à garder ses cages inviolées lors des phases de poules et a même terminé avec une différence de buts négative. Mais c’est la seule équipe à avoir pris des points contre le finaliste de la saison dernière, le Bayern Munich.
Premier chapeau :
Tottenham
Schalke 04
Manchester United
FC Barcelone
Bayern Munich
Chelsea
Real Madrid
Chaktior Donetsk
Deuxième chapeau :
Inter Milan
Lyon
Valence
Copenhague
AS Roma
Marseille
Milan AC
Arsenal
Les quelques règles à savoir :
Les premiers de chaque groupe ne pourront se rencontrer et affronteront obligatoirement une formation qui a terminé deuxième de son groupe.
• Deux équipes qui faisaient partie du même groupe au premier tour ne peuvent se retrouver.
• Deux clubs d'une même nation ne peuvent être opposés. De ce fait, il n'y aura par exemple pas de Manchester United- Arsenal ni de Barcelone - Valence à ce stade de la compétition.
Les matchs auront lieu les 15, 16, 22 et 23 février (aller) et les 8, 9, 15 et 16 mars prochains (retour). La manche aller se déroulera sur le terrain du deuxième de chaque groupe.
Sur le forum
Alruud, le 16 juin 2011 à 19:39
Je ne savais pas trop où poster ça , mais la finale de la Champion's League 2013 reviendra à Wembley !
http://www.lequipe.fr/Football/breves2011/20110616_182808_la-finale-encore-a-wembley-en-2013.html
Ils auraient pu prévoir avant qu'il allait fêter les 150 ans !!!
kuranyi54, le 16 juin 2011 à 19:26
Je ne savais pas trop où poster ça , mais la finale de la Champion's League 2013 reviendra à Wembley !
http://www.lequipe.fr/Football/breves2011/20110616_182808_la-finale-encore-a-wembley-en-2013.html
cantonadubarça, le 2 juin 2011 à 3:58
Je vais te répondre de manière simple.
La différence entre nos deux club depuis la finale de 2009, c'est que MU avec les départs de CR7 et Tévez ont eu une forcément phase de reconstruction avant d'avoir une légère phase de progression.
Nous on a eu plus de temps pour progresser malgré le "frein" Ibrahimovic. Tout était en place pour que Messi s'habitue de plus en plus à son nouveau poste, et murisse. Xavi et Iniesta ont eu également le temps de murir.
Le reste ne fut que des petites retouches pour s'approcher de "notre" perfection.
Henry, Eto'o, Ibrahimovic Touré OUT, Pedro, Villa, Busquets IN . Tous ça rajouté dans un collectif ultra rodé et plus mature, et voilà le Barça 2011.
Je pense qu'on a eu un peu moins d'obstacles que vous ce qui explique qu'on est un peu plus progressé. C'est l'avis de mes frères en tous cas.
Cependant l'année prochaine sera une autre histoire je pense.
Best_07, le 1er juin 2011 à 9:37
Message que j'ai adressé à la base aux supporters barcelonais, donc les "vous" font référence à eux, bien entendu...
Je sais pas vous, mais moi, me prendre la même humiliation qu'en 2009 ça me fait mal, très mal...
Manchester United - Barcelona, deux ans après, où en sommes-nous ?
1 - Des soeurs jumelles ?
27 Mai 2009: FC Barcelona 1-0 Manchester United, Messi marque alors à la 70ème minute le but qui scelle le destin d'une finale.
28 Mai 2011: FC Barcelona 2-1 Manchester United, Villa marque alors à la 69ème minute le but qui scelle le destin d'une finale.
C'est impossible de ne pas effectuer une liaison entre ces deux évènements, ô combien semblables dans leur déroulement et dans leur dénouement. Alors, certes, effectuer une relation directe entre ces deux finales est d'une simplicité extrême mais j'aimerais revenir en détail sur le travail effectué par les deux clubs durant ces deux années. Principalement pour tenter de répondre à la question: Qu'est-ce qui a changé ? Ou plutôt, au vu de la situation, qu'est-ce qui n'a pas changé.
2 -...years ago
Brève restitution de contexte, Nous sommes début Mai 2009 et nous voyons se profiler à l'horizon une finale qui promet entre les deux meilleurs clubs de la planète. D'un côté, Manchester United, champion en titre de cette compétition, souverain depuis trois ans en Angleterre et emmené par un Cristiano Ronaldo au sommet de sa gloire, en témoigne ses prestations exceptionnelles en 1/4 et 1/2 finale (Porto/Arsenal). En face nous avons l'équipe qui s'est révélé comme potentiellement l'une des plus fantastique de ces dernières années. Sous la direction de leur nouvel entraîneur, les blaugranas ont su corriger les erreurs effectués depuis 2007 pour se hisser de nouveau tout en haut du football européen. S'ils ont perdu Ronaldinho et Deco, comme le souhaitait Guardiola, ils ont compensés ces départs par la montée en puissance d'un collectif parfaitement huilé qui a frisé la perfection tout au long de la saison.
Comment les deux entraîneurs abordent-ils cette finale ? En ayant foi en leur groupe, en mettant en place leur schéma habituel, sans jouer contre-nature. Car Manchester, et les gens ont beau dire le contraire, n'a pas chercher à adopter une tactique anti-Barcelone. Le 4-5-1 qui a été mis en place n'était pas plus une surprise que le 4-4-2 qui verra jour deux ans plus tard. En Europe, Ferguson était un adepte de ce système, reposant en grande partie sur un travail de Rooney et Park et sur le talent de Ronaldo. Mais l'essentiel contre Barcelone, c'est évident, c'est l'axe du milieu. Et si Carrick, Giggs et Anderson laissaient les barcelonais attaquaient sans répit la défense c'est qu'ils n'avaient pas reçu les bonnes consignes. Il ne s'agit pas là de faire le procès de Ferguson mais tout simplement, ce dernier ne craignait pas Barcelone au point de reposer l'essentiel de sa tactique sur un travail exemplaire au milieu. On a souvent dit que c'était du à l'absence de Fletcher et d'Hargreaves, chose que je veut bien croire, puisque ce sont nos deux milieux les plus hargneux.
Bref, les deux meilleurs équipes du monde, les deux entraîneurs les plus doués et les deux meilleurs joueurs étaient censé s'affronter. Sauf que ce soir là d'affrontements il n'y eu pas.
Il n'y avait qu'une seule équipe au monde, qu'un seul entraîneur prenant les bonnes décisions et qu'un seul joueur atteignant le septième ciel en s'octroyant d'avance un futur ballon d'or.
Fin de l'histoire, enfin pas tout a fait...
3 - Ce qui a changé:
Des changements dans ces deux clubs depuis ce jour jusqu'à aujourd'hui il y en a eu. Plus du côté de Manchester bien évidemment. Nous avons du nous séparer de Ronaldo et Tevez. Pour compenser ces pertes nous avons fait venir, successivement, Valencia et Chicharito. La comparaison entre ces deux duo offensifs n'a pas lieu d'être puisque ce qui leur est/était demandé sur le terrain est nettement différent. Mais ce changement radical montre bien la direction qu'a voulu prendre Ferguson post finale 2009:
La direction d'un groupe reposant bien plus sur le collectif, en s'appuyant sur le modèle de 2007 tout en gardant la solidité de 2008. Il fallait oublier 2009, année destinée à faire briller un portugais à son apogée et revenir aux bases de ce qu'est Manchester United: Une force collective. C'est ce collectif qui a vu le jour en 2010, mais il manquait encore quelques ingrédients pour le rendre efficace (montée en puissance de certains joueurs comme Nani, Anderson, Berbatov, par exemple). Et c'est pourquoi durant cette période, nous avons connu une certaine Rooney-dépendance, parce que le collectif n'était pas encore assez rodé pour retourner chercher un titre européen (même si l'élimination contre le Bayern reste malgré tout une surprise et une frustration au vu des matchs). Et c'est aussi pour cela que nous perdons le titre, Rooney se blesse, la machine est enrayée, elle laisse Chelsea filer vers le sacre.
Et c'est après cette saison décevante que Ferguson fait les bons choix. Il maintient sa confiance en Berbatov et fait venir un inconnu (ou presque), Chicharito. Et même si la saison 2010/2011 n'a pas été de tout repos, n'a pas été flamboyante chaque week-end, le travail de création d'une mentalité effectué l'année précédente a porté ses fruits. Les bases de 2006-2009 étaient là et on a inculqué ce désir d'un état d'esprit irréprochable aux valeurs ajoutées que sont Valencia, Chicharito, Owen (à moindre effet), Rafael, Fabio, Smalling et à la doublette offensive en plein essor Berbatov-Nani.
L'équipe, bien que n'étant pas encore tout à fait flamboyante a au moins eu le mérite d'être irréprochable dans la combativité, ce qui lui a permis de reconquérir la bonne vieille Albion et de réussir à retrouver l'extase européenne, une finale à Wembley, sacrée Albion, décidément.
Pour ce qui est des catalans, ce n'est pas une surprise, après le sacre, Eto'o et Henry ne sont plus. Pedro voit encore un peu plus le jour et Ibrahimovic vient s'incruster dans le groupe, ce qui laisse beaucoup de monde dubitatif. C'est pour moi l'une des rare erreur de Pep, d'avoir fait venir le suédois. Si je ne renie pas ces qualités, il me semblait assez évident, et ce, dès le départ, qu'il ne correspondait tout simplement pas au style de jeu de Barcelone. Ce n'est pas seulement une question de taille, ce serait bien trop facile, c'est une question de désir de jeu, deux mentalités qui ne se rapprochent ni de près, ni de loin. C'est pourquoi, je pense que le Barca le moins efficace de l'ère Guardiola reste le seul qui a chuté. Le coach s'est rapidement rendu compte de son erreur, puisque pas moins de 10 mois plus tard, au revoir Ibra, bonjour Villa.
Et c'est à ce moment là, en 2010/2011, que nous avons, à mon sens, eu droit à un Barcelone encore plus puissant, cohérent et redoutable qu'en 2009. Certains joueurs sont arrivés encore plus a maturité: Busquets, Pique, Abidal, Pedro, Messi (oui, oui, c'est possible) et les nouveaux (Mascherano/Villa) ont apportés satisfaction. Même si j'ai lu beaucoup de critiques à leurs égards, j'ai trouvé Villa très vite en adéquation avec ses partenaires et Mascherano était le type de joueur qu'il manquait à votre groupe, no doubt about that.
Seul bémol dans cette merveilleuse machine: Pas de banc !
Et oui, ça vous a fait souffrir dans la saison, des milieux qui redescendaient en défense, un Puyol décalé à gauche, des joueurs qui jouent chaque week-end, des remplacements plus que prévisibles etc. Mais était-ce vraiment un poids ? Au vu de votre saison, et même s'il y à eu une période de "moins bien" (qu'est-ce que cela veut dire dans le langage catalan ?) il ne fait désormais aucun doute que Pep avait la solution à tout ces petits problèmes.
4 - La préparation:
Nous sommes début Mai 2011, et on nous qualifie la finale qui aura lieu à Wembley de "choc des titans". Le duel entre l'école barcelonaise et l'esprit United. Un duel dans lequel on ne cesse de vanter les mérites des deux équipes. L'une semble au top de sa forme, ayant atomisé Schalke en demi-finale et ayant fait preuve de solidité et de classe pour aller chercher un 19ème titre de Premier League. Emmené par un Rooney titillant Messi dans une course au ballon d'or (je rigole, ça va), un Giggs avec ses 20 ans retrouvés, un Chicharito en pleine bourre et un duo d'ailiers besogneux et ô combien importants: Valencia et Park.
L'autre, beaucoup la qualifie de moins bien physiquement, avec les doutes concernant la défense qui serait alignée (Abidal, plus qu'une leçon de "vie", c'est une leçon de football qu'il donne à Evra). Et puis, quand il y a une revanche c'est souvent l'équipe qui a perdu le premier match qui gagne. Et puis, il y a des incertitudes concernant un volcan qui pourrait perturber le trajet des blaugranas. Et puis, et puis, et puis...
...Alors oui, quand on est à quelques jours de la finale, qu'on soit neutre ou supporter mancunien, on est en droit de penser, pour la première catégorie, que l'exploit est possible, et pour la seconde, on n'y pense pas, on y croit (Believe, nous chantions fièrement).
Et même à 20h40, quand nous voyons Nemanja Vidic, le regard froid et déterminé, dans le tunnel (de la mort), on se dit:
"C'est chez nous, c'est pour nous, on va bouffer du nain ce soir (motivation oblige, désolé)."
5 - Le Bilan:
Triste constat amer d'une situation qui me désespère.
Ferguson n'a surpris personne, si nous sommes 60% dans les rangs des supporteurs mancuniens a avoir dévoilé la compo 2 semaines avant la finale c'est que Pep la connaissait aussi. Aucun souci pour lui, beaucoup pour nous.
Parce que quelle erreur Ferguson a t-il fait ? Il a cru en son équipe, comme en 2009. Sauf que, ce n'est pas un supporter, c'est un tacticien. Et c'est, selon moi (oui, c'est facile à dire après coup, parce que je le voulais ce 4-4-2, mais je suis pas coach justement) la composition de départ qui signait presque notre arrêt de mort. Mais alors, que fallait-il ?
Un Park avec un Anderson, les deux dans l'axe du milieu, utilisant tout les poumons qu'ils ont pour gêner le jeu de passe Barcelonais et perturber Messi dans ses déplacements.
Un Scholes, devant eux, pour pouvoir organiser le jeu rapidement, en distribuant sur les ailes vers Nani et Valencia.
Un Chicharito, sur le banc, remplacé à la pointe de l'attaque par Rooney.
Et enfin, un Fabio à gauche et un Rafael à droite. Les brésiliens faisant preuve de beaucoup plus de hargne sur le porteur du ballon qu'un Evra, véritable poids toute la saison.
Pour moi, le premier bilan qu'il faut tirer de ce (non) match de United c'est que le 4-4-2 mis en place par Ferguson, sans consignes apparentes, était suicidaire.
Et puis, finalement, et surtout, qu'est-ce qu'il faut retenir ?
Que le Barca, à l'heure actuelle, est trop fort.
Je me demande, si même à 12, nous aurions réussi à accrocher les prolongations...
Quand je vois que vous pestiez contre Villa, je me demande si vous réalisez la chance que vous avez d'avoir un joueur qui, même s'il vendange beaucoup, est un danger constant à chaque fois qu'il touche la balle aux abords de la surface.
Des mouvements, des appels, des contre-appels, des latéraux aux 1000 poumons, des milieux à la fois si proches et si éloignés les uns des autres, alternant petites courses, jeu court, jeu en profondeur et enfin: Le meilleur joueur de sa génération, un poison, à te dégouter du football (quand tu es contre lui biensur). Même Van der Sar lui laisse le but vide pour qu'il place sa frappe, comme si tout ne lui souriait pas assez comme ça.
Barcelone, c'est trop tout, pour l'instant. Est-ce une raison de désespérée ? Non. Mais l'objectif est clair maintenant, faire descendre les catalans de leur p**** de perchoir. Et pour ça, va falloir poursuivre les efforts effectués depuis 2009 en recrutant et en gérant l'effectif de façon intelligente (je ne me fais pas de soucis pour cela).
Le bilan reste sensiblement le même qu'après 2009, si ce n'est qu'il vient confirmer une réalité que beaucoup (dont je fais partie) avaient décidés d'ignorer après la demi-finale contre l'Inter. Non pas parce que nous étions haineux, mais parce que nous croyons en nous:
Il y a Barcelone et il y a le reste.
La fierté du supporteur en prend un coup, mais il faut savoir reconnaître une évidence sous peine de se mentir à soi-même. Et ce n'est qu'en étant honnête avec nous-même qu'on avance, et pourquoi pas, grâce à ce constat et au travail que nous devons faire pour le réduire à néant, reverrons nous un jour la coupe aux grandes oreilles, d'un peu plus près que le traditionnel mètre à la sortie des vestiaires... Mais pour l'instant, les maîtres, c'est vous.
yac7, le 17 juin 2011 à 18:03
Je viens de voir ça. Super nouvelle.